Tout le salon tient dans cette phonologie. Il s’agit d’une rencontre autour « Des Livres et l’Alerte » pour encourager à l’écriture et la promouvoir, réfléchir sur le lancement d’alerte et le rôle de celles et ceux qui la déclenchent. Il s’agit de transmettre et donc de «Délivrer l’Alerte». La formule prend tout son sens avec les risques encourus par celles et ceux qui lancent l’alerte en déclarant haut et fort « Délivrez l’Alerte ! ».
Ce salon est une rencontre autour « Des Livres et l’Alerte » pour encourager à l’écriture et la promouvoir, réfléchir sur le lancement d’alerte et le rôle de celles et ceux qui la déclenchent. Il s’agit de transmettre et donc de « Délivrer l’Alerte ». La formule prend tout son sens avec les risques encourus par celles et ceux qui lancent l’alerte en déclarant haut et fort « Délivrez l’Alerte ! ».
À l’heure de la COP21 et de l’indiscutable alerte environnementale, la première rencontre « Des Livres et l’Alerte », en présence de lanceuses et lanceurs d’alerte, de citoyens vigilants, de journalistes et de personnalités, sera l’occasion de présenter ce qui s’écrit et se publie, de permettre la rencontre d’auteurs avec le monde de l’édition, de réfléchir à ce qui entoure le lancement de l’alerte.
Qu’il s’agisse d’Alerte environnementale ou sanitaire, politique ou financière, les intérêts s’affrontent. Le monde des affaires souhaite protéger le secret, le monde politique y aspire tout en tenant un discours sur la transparence. Le débat législatif hésite avec des dispositions sur la protection de certains lanceurs d’alerte et des dispositions protégeant le secret des affaires ou autorisant les écoutes massives. De là où ils se trouvent, les lanceurs d’alerte et les citoyens vigilants révèlent, comme Bradley/Chelsea Manning ou Edward Snowden qui ont été médiatisés.
En France, les affaires Cahuzac, UBS, LuxLeaks, Médiator… ont mis en lumière des femmes et des hommes qui rendent publiques des analyses et des affaires qui remettent en cause des pouvoirs établis et des pratiques douteuses.